Le train commence à ralentir. Il entre en gare de Brive-la-Gaillarde, ma destination. Je me lève. Mes jambes ont du mal à me porter encore groggy par l’expérience que je venais de vivre. Les fantasmes comblés, liés à la surprise, sont les plus beaux moments de grâce que l’on puisse vivre. En effet, quoi de plus délicieux que de toucher à cette fluidité des plaisirs que les êtres s’offrent alors que rien n’était prémédité.
Je fais régulièrement le trajet entre Paris et Brive. Rien ne présageait en cette fin de journée estivale que cela aurait pu se passer de la sorte. Comme d’habitude, je suis arrivé tout juste pour prendre l’intercité en direction de Toulouse. Étonnamment, il y avait peu de monde dans le wagon. Je me suis installé à ma place, côté fenêtre, et je me suis relâché, content de me laisser paisiblement porter pour les 4 heures à venir. Je me suis assoupi sans prêter attention à mon environnement.
Le train arrive à Orléans. Quelques passagers quittent la voiture. J’entends le sas s’ouvrir. Un nouveau passager s’engage dans le couloir. Il arrive à ma hauteur pour s’installer de l’autre côté du couloir. C’est une femme avec une petite valise. Elle était vêtue d’une petite robe légère et d’une veste en jean cintrée.
J’ai d’abord été saisi par ses cheveux. Une toison des plus voluptueuse, une structure aérée et légère qui laissait pénétrer les rayons du soleil rasant de cette fin de journée. Lorsqu’elle plaça sa valise dans le rack, elle laissa découvrir un fessier d’une telle générosité. Sa petite robe épousait à merveille ses courbes. Aucune aspérité ne venait perturber les lignes de sa croupe. J’étais médusé par tant de beauté qui venait me tirer de cette léthargie. Le petit cri qu’elle poussa dans l’effort consenti pour hisser sa valise finit par éveiller tous mes sens et me sentir à l’étroit dans mon boxer. Je me redresse dans mon siège.
Elle se retourne et dévoile le côté face. Elle arbore un sourire radieux, un visage doux, de grands yeux pétillants. On sent tout de suite une belle énergie. Elle esquisse poliment un salut de la tête auquel je réponds à l’identique par réflexe, n’ayant plus tout à fait accès à toutes mes facultés.
Elle se met l’aise, se débarrassant de sa veste. Cette petite robe continue d’offrir une topologie des plus précises et précieuse pour tout explorateur. Cette fois-ci, je découvre une vallée creusée entre l’ubac et l’adret, ornés chacun d’un cairn en leurs sommets. Sa robe, échancrée, laisse également entrevoir la naissance de ses seins majestueux. Le réchauffement climatique se fait subitement ressentir. La voiture devient maintenant une étuve. Je ne peux substituer mon attention à ce regard oblique. Je ne contrôle plus mon esprit qui vagabonde déjà à toutes sortes de scénarios les plus fantasques les uns que les autres.
Elle échange par messagerie instantanée sur son smartphone en souriant, en se mordant les lèvres. Elle doit probablement rejoindre son compagnon et trépigner à l’idée de le retrouver.
Le train marque un arrêt à Vierzon. Personne ne monte dans notre voiture. La nuit vient maintenant nous envelopper de son intimité.
Le train redémarre. Elle se lève et prend un livre qui se trouve dans sa valise. A nouveau, je ne peux m’empêcher d’admirer ce fessier généreux qui s’agite devant moi à l’ouverture et à la fermeture du zip. Le tissu de cette robe est une deuxième peau. Le corps est totalement restitué. Elle se retourne avec son livre plaquer entre ses seins et sourit, d’un sourire un peu gêné, faisant ressortir ses pommettes rosées. Elle retourne sur son siège côté fenêtre. Discrètement, je dois maintenant appuyer sur mon sexe à l’aide de mon avant bras pour que cela ne se voit pas. Cette fois-ci, il s’agit d’un mouvement de tectonique qui laisse entrevoir la naissance d’un volcan prêt à exploser et déverser sa lave. Le désir, bouillonnant, est fou mais cela n’est rien par rapport à ce qui allait arriver.
Je reprends mes esprits. Elle se déchausse. Elle plie sa jambe gauche, pied sur le siège, elle entoure sa jambe avec son bras gauche et tient son livre dans les mains. Sa robe laisse maintenant entrevoir l’intérieure de sa cuisse nue. Elle est plongée dans son livre. Je m’aperçois qu’elle était en train de lire « La pharmacienne ». Le volcan se réveille. Je me remémore les passages les plus lubriques et facétieux de l’ouvrage. Elle tourne la tête vers moi. Je sens qu’elle est un peu chose, perdue. Je lui retourne l’attention par un sourire avec une petite moue coquine la félicitant de son choix de lecture.
Elle a tout de suite compris que je connaissais le contenu de sa lecture. Elle me regarde de temps à autre et puis de plus en plus fréquemment. Je vois dans ses yeux une certaine gourmandise. Son livre passe dans la main gauche. Elle écarte les jambes est pose sa main entre les jambes. Elle pose son livre, avance les fesses sur le bord du siège, insiste sur ton entrejambe et me regarde maintenant avec insistance. Je ne peux résister à faire de même. Je glisse sur le bord de mon siège, je pose la main sur la bosse de mon jean et je commence à me caresser. Elle porte ses doigts à la bouche pour goûter son foutre qui à l’air déjà d’abonder dans sa culotte. Elle hume au passage le parfum de sa chatte.
J’ouvre mon jean, bouton après bouton. Une bosse noire apparaît. Je tire un peu sur mon jean pour me mettre plus à l’aise. Je plonge la main droite pour sortir ma queue de son carcan, la prends à pleine main et la descends jusqu’à la base pour lui montrer toute la longueur de l’organe. Ma queue se dresse avec fierté et panache. Elle est chaude, gorgée de désir, prête à exploser.
De la main gauche je me caresse le périnée, effleurant mon anus. Elle remonte sa robe pour laisser entrevoir sa main dans cette petite culotte blanche. Ses doigts connaissent parfaitement la partition. Ils glissent entre les différents hotspots de ses entrailles. Elle se connaît tellement bien. Elle a tellement envie de plaisir qu’elle jouit une première fois brutalement en se tortillant sur son siège et essayant de retenir son râle. Je suis subjugué par ce plaisir qu’elle s’offrait. La béatitude l’avait envahie. Elle reprend ses esprits.
Ses grands yeux dévorants me demandent de la rejoindre. Je bondi sur le siège adjacent. Je prends délicatement sa main et lèche ses doigts. Ils sont enduits de nectar. C’est un régal.
J’entreprends de l’embrasser en lui tenant la nuque. Ensuite, je pose une main sur son sein droit. Elle n’a pas de sous-vêtements, le tissu de la robe fait glisser ma main avec douceur sur sa poitrine. Ma paume soutient alors son sein et mon pouce caresse le téton. Elle me prend la main et la porte jusqu’à sa chatte. Elle est trempée. Mes doigts glissent entre ses lèvres. Je vais chercher avec deux doigts, plus de foutre dans son vagin et lui amène dans la bouche et je l’embrasse à nouveau. Je me penche sur son entrejambe pour m’occuper de sa chatte avec plus de confort. J’escammote le petit bout de tissu détrempé. Je loge majeur et index dans son vagin et le pouce sur le clitoris. Tout en douceur, je fouille son antre.
Je sens son corps en tension et s’offrir à moi. Une terrible envie de lui faire plaisir me guide. Je veux lui caresser avec ma langue sa chatte brûlante et perlante de foutre. Me redressant, je la prends par le bassin pour la mettre dans la diagonale et je me mets à genou tant bien que mal entre les sièges. Elle écarte bien les cuisses pour m’accueillir, un pied sur le siège de devant et un autre sur le siège couloir. Je la regarde d’un air assuré et complice. J’approche ma tête de la cible. J’embrasse l’intérieur de ses cuisses. Elle passe sa main derrière ma tête pour plaquer ma bouche contre sa chatte. Je lui tiens les fesses et lui lèche la chatte de haut en bas.
Elle se cambre pour me dévoiler son anus. Je redescends pour bien m’en occuper à pleine langue. Un petit râle valide mon ouvrage. Je remonte vers son clitoris et pénètre délicatement de mon pouce son anus, la main ouverte sur son dos. Ma langue passe de la caresse suave à un balayage frénétique. Je la sens se crisper et sa main serre mon bras. Elle se tortille sur mon pouce. Plusieurs vagues de tension passent jusqu’au paroxysme où tout s’arrête et explose d’un coup dans un râle retentissant qui s’échoue en vaguelettes discrètes. Le siège est inondé. Il a changé de couleur.
Elle me regarde repue et m’embrasse à pleine bouche. Elle me relève et m’assoie à côté d’elle. Empoignant ma queue sans plus de considération, elle l’engloutit dans sa bouche. Ces lèvres sont douces. Elle tient fermement ma queue, suce doucement et insiste sur mon gland, sa langue tournoie autour. Elle va de temps en temps plus loin et je sens ses dents me rayer le casque. Qu’est-ce que c’est bon ! Je lui prends une grosse poignée de cheveux, je lui relève la tête pour l’embrasser.
Elle se relève, se retourne, monte à genou sur son siège et plaque ses seins contre le dossier. Je me faufile derrière elle. Elle se cambre. Je relève sa robe qui tient toute seule sur le haut de ses reins. C’est un panorama sublime. Le string a disparu entre les fesses. Je les prends à deux mains et les écartent. La ficelle fend en deux sa petite rondelle. De ma main gauche, je coche la ficelle avec mon pouce et je tiens sa hanche. Je prends de l’autre main ma queue et je vais chercher son foutre entre ses lèvres. Je viens caresser son anus à l’aide de mon gland bien enduit de son jus.
J’ai très envie de sentir la chaleur et la douceur de sa chatte. J’entreprends alors de la pénétrer. Je dirige ma queue entre ses lèvres et je la caresse jusqu’au clitoris. Lors de mes passages, mon gland s’enfonce dans le vestibule et il commence à prendre la direction de son vagin. Je marque un temps d’arrêt et l’embrasse dans la nuque. Je me redresse et l’enfonce tout doucement jusqu’au bout. Ma queue disparaît en elle.
Un râle sourd et court sort de sa bouche. Je la tiens bien par les hanches, je m’applique à contenir mon extase. Sa chatte est si veloutée. Sa croupe est un chef d’oeuvre. Je dois me retirer et caresser de nouveau sa petite rondelle pour ne pas exploser trop rapidement devant un tel spectacle. Je reviens en elle. Elle est sensible à l’accélération du rythme, nous sommes en symbiose. Elle commence à jouir. Cela m’excite encore plus et je ne peux me retenir plus longtemps. Nous jouissons ensemble, j’explose en elle. Je m’effondre, ma queue encore en elle, en l’enlaçant.
Le train arrive en gare de la Souterraine. C’est alors qu’elle pivote sur le siège couloir et reprend tant que se peut conscience. Elle est encore sonnée mais dans un élan, elle se relève, tire sur sa robe, prend sa valise, prend sa veste et part promptement sans même me regarder. Je la vois sur le quai. La lueur des réverbères laissent entrevoir mon sperme couler le long de ses jambes. Le train redémarre. Je vois un homme venir à sa rencontre et l’embrasser.
Me voici seul sur son siège, jean sur les chevilles. Je suis encore shooté par ce merveilleux cocktail hormonal d’offre le sexe. Nous n’avons échangé aucun mot mais le plus grand des bonheurs. Je retrouve son livre sur le plancher du wagon.